Chanté par : Loutre, Pécari, Rainette, Flamant Rose, Siamois, Ocelot
Amis autrefois quand j’étais au pays
Tout seul à cheval je galopais dans la nuit
Pour porter des lettres au village voisin
Et je revenais bien fatigué le matin
Dans mes longues courses je m’arrêtais souvent
Pour voir une fille que j’aimais tendrement
Ses cheveux étaient si longs et si soyeux
Et ses yeux avaient lac profondeur d’un lac bleu
Mais un soir d’hiver revenant à cheval
Il me vient soudain un pressentiment fatal
Tout près du moulin je l’aperçue soudain
Etendue sans vie, morte au milieu du chemin
Amis excusez, pardonnez mon chagrin
Je n’ai plus la force de continuer plus loin
Mais pour oublier les tristesses de la vie
Buvons et chantons pour qu’à jamais je l’oublie
Mais pour oublier les tristesses de la vie
BUVONS et chantons pour qu’à jamais je l’oublie